Désinsectisation
Faites-nous confiance pour vos démoustications, protection de vos arbres et espaces verts et destruction des nids de frelons asiatiques.
Guêpes, frelons asiatiques et européens
ACE Hygiène, adhérent aux principes de la fredon
ACE HYGIENE est signataire de la charte régionale des bonnes pratiques de destruction des nids de frelon asiatique en IDF.
De l’importance du repérage
Bien que ces insectes soient diurnes, la localisation des nids de guêpes ou de frelons est souvent difficile à repérer et il convient, si possible, d’être guidé par les observateurs qui ont constaté leurs allées et venues.
Suivant la localisation du nid, le type de menace et la nécessité ou non d'établir un périmètre de sécurité (5 à 10 mètres de rayon), les techniciens interviendront en binôme, en utilisant potentiellement du matériel spécifique pour travaux en hauteur.
Il mettra en oeuvre la méthode la plus appropriée selon :
Traitement
Après s'être équipés de leurs équipements de protection et avoir établi le périmètre de sécurité, nos techniciens disposent de plusieurs modes d'action principaux :
Les pyrèthres végétaux sont des substances insecticides biologiques qui se dégradent rapidement à la lumière du soleil et sont naturellement digérées par les bactéries. En extérieur, il ne faut donc que quelques jours pour que ces substances perdent tout caractère toxique. ACE HYGIENE retirera systématiquement tout nid traité par ce procédé.
Ce mode de traitement permet la destruction immédiate du nid, il est donc impératif de le réaliser quand toute la colonie s'y trouve (i.e., aube, crépuscule, nuit).
Punaises de lit
De l’importance du diagnostic
Les punaises de lit sont de petits insectes rampants hématophages de couleur brune. De la taille d’une lentille, elles se faufilent aisément dans tous les recoins non éclairés des literies et assises (revers ou bourrelets du matelas, tête de lit côté mur, pieds de lit, pieds de canapé, embouts de lattes...). Lorsqu’elles sont peu nombreuses, l’aspiration régulière de toutes les surfaces à risque peut suffire pour s’en débarrasser. Sinon, elles se multiplient à grande vitesse et une infestation peut vite devenir hors de contrôle.
Les punaises de lit sont attirées par le sang chaud dont elles se nourrissent. Elles sont guidées par le rayonnement infrarouge et le CO2 que le corps humain dégage. Leurs piqûres se manifestent généralement par un groupement ou un alignement de petites rougeurs ne provoquant pas nécessairement de démangeaisons. Chez certaines personnes, les réactions peuvent être plus sévères (démangeaisons, cloques, urticaire).
De l’importance du diagnostic
Nous préconisons la réalisation d’un diagnostic visuel préparatoire avant tout traitement contre les punaises de lit. Nos techniciens ont diagnostiqué des milliers de logements pour trois bailleurs sociaux franciliens ; faire appel à nos services c’est donc s’assurer d’un regard expérimenté.
Le but de ce diagnostic est de jauger l'infestation, repérer ses manifestations et déterminer le traitement le plus pertinent. Il nous est possible de faire appel à un de nos partenaires spécialistes du diagnostic canin si la situation l'exige.
Un traitement adaptatif
Selon le bilan du diagnostic et les contraintes du site à traiter et de ses occupants, nos techniciens pourront décliner plusieurs types de traitements, lesquels se scindent en deux catégories : les traitements chimiques et thermiques.
Les traitements chimiques consistent généralement à pulvériser une solution insecticide et larvicide autour du mobilier infesté, sur toutes les surfaces à risque identifiées par le diagnostiqueur.
Les traitements thermiques peuvent être extrêmement localisés avec l’utilisation de vapeur sèche, dont l’efficacité n’est plus à prouver sur les assises et literies. Ce type de traitement permet de brûler tous les insectes visibles sans abîmer les éléments en tissu. En revanche, lorsque ces éléments disposent d’une structure métallique creuse dans laquelle les insectes peuvent se réfugier et nidifier, il peut être nécessaire de passer à un traitement thermique extrême par surgélation ou surchauffe.
L’objectif de ce type de traitement est d’amener tous les insectes d’une pièce ou de votre mobilier à température létale négative ou positive. Pour ce faire, ACE HYGIENE dispose d’une chambre de surgélation dans laquelle votre mobilier peut être déplacé pour y être maintenu à -30 °C pendant plusieurs jours, et de génératrices de chaleur mobiles pouvant chauffer une pièce entière jusqu’à 70 °C.
La chambre de surgélation et les génératrices de chaleur sont très efficaces pour traiter le mobilier. Les génératrices de chaleur peuvent traiter des pièces entières, mais leur efficacité peut être sévèrement limitée si les punaises de lit disposent d’une échappatoire (interstices au niveau du parquet, plinthes, goulottes, prises électriques).
Blattes
Des invités indésirables
Les blattes ou cafards sont des insectes rampants vivant dans des zones chaudes (plus de 20 °C) et humides où elles peuvent se nourrir et s’hydrater. Préférant éviter la lumière qui les expose au danger, elles préfèrent nidifier dans des endroits sombres, notamment derrière le mobilier et à l’intérieur des appareils électroménagers.
Ce sont des nuisibles dans toutes les structures qui disposent de zones de préparation ou de stockage des aliments (restaurants, hôpitaux, écoles, appartements). Non seulement elles tachent les murs de leurs déjections laissant derrière elles de nombreuses coulures brunâtres caractéristiques, mais elles souillent également les denrées alimentaires et ruinent cuirs, textiles, papiers et appareils électroniques par leur simple présence. Elles peuvent aussi être vectrices de pathogènes (staphylocoques, streptocoques, hépatite, tuberculose, dysenterie, salmonellose).
L’espèce de blatte la plus répandue en France est la blatte germanique, mais des blattes américaines de taille plus imposante se trouvent également sur le territoire.
Traitements envisageables
Comme pour toutes les problématiques de nuisibles, les traitements curatifs ne sont efficaces dans la durée que lorsqu’ils sont associés à une réflexion sur l’origine des nuisibles dans les espaces infestés. Comment ont-ils pu s’y faufiler ? D’où viennent-ils ? Qu’est-ce qui a pu les attirer ? C’est d’abord en se posant ces questions que l’on pourra définir quelles actions d’étanchéification et d’assainissement (nettoyage et désinfection, suppression des sources de nourriture) des lieux infestés devront être entreprises. Et ce sont ces actions qui permettront de maximiser l’efficacité du traitement qui sera réalisé.
Suivant le degré d’infestation et les contraintes du site à traiter et de ses occupants, les techniciens d’ACE HYGIENE pourront traiter :
Chenilles processionnaires
Ravageur du pin et du chêne
Il existe une demi-douzaine de variétés de chenilles processionnaires, mais les plus connues et les plus ravageuses sont celles du pin (Thaumetopoea pityocampa) et celle du chêne (Thaumetopoea processionea), laquelle pouvant également être trouvée sur les noyers et charmes.
La chenille processionnaire est un ravageur se nourrissant d’aiguilles de pin ou de feuilles de chêne. Une seule colonie est suffisante pour défolier un arbre, ce qui l'affaiblit durablement et ouvre la voie à d'autres ravageurs ou bactéries dont l'action sera fatale. Ce nuisible est également dangereux pour les hommes et les animaux (notamment les chiens) du fait de son corps recouvert de poils urticants. En cas de stress, ces poils sont projetés dans l'air et portés par le vent. Ces poils peuvent provoquer de sérieuses réactions allergiques (démangeaison, conjonctivite, irritation des voies respiratoires, crise d’asthme, choc anaphylactique).
Cycle de vie
Processionnaire du pin
Que ce soit pour la processionnaire du pin ou du chêne, on observe deux types de nids. Pour la processionnaire du pin, un premier nid se construit dans le pin à leur éclosion, puis elles construisent le nid d’hiver, plus chaud, en haut de l’arbre et au soleil. Pour la processionnaire du chêne, un premier nid se situe sur les branches périphériques, le suivant sera collé au tronc de l’arbre et moins visible.
Juin à début septembre - Sortie de terre des papillons, accouplement et ponte des oeufs qui seront déposés sur les aiguilles de pins aux alentours. Septembre à mi-octobre - Eclosion des chenilles 30 à 45 jours après la ponte. Octobre à fin janvier - Développement des chenilles et nidification avec construction d'un nid en soie. À mesure que la température diminue, les chenilles ne sortiront plus que la nuit pour se nourrir. Février à mi-avril - Conduite par une femelle, la colonie quitte l'abri et se dirige vers le sol afin d'y trouver un endroit ensoleillé pour s'y enfouir (procession de nymphose). Les processionnaires du pin y tisseront ensuite des cocons individuels et se transforment en chrysalides.
Processionnaire du chêne
Juillet / août - Accouplement des papillons, la femelle pond ses oeufs dans les fines branches au sommet des chênes. Mars / avril - Eclosion des oeufs puis développement des larves qui resteront ensemble jusqu'à leur métamorphose. Construction du nid d'été en entrelacements de filins de soie. Avril / mai - Développement de la chenille en 5 stades. Juin / Juillet - Tissage d'un nid plus résistant contre le tronc ou une grosse branche. Ce nid contiendra les cocons dans lesquels les chenilles se transformeront en papillons par nymphose.
Traitement
Processionnaire du pin
Juin à mi-septembre - Piégeage par cerclage des arbres peuplés de chenilles en période de début de procession. Mi-septembre à mi-novembre - Traitement insecticide biologique à base de Bacillus thuringiensis (BT kurtstaki, sérotype 3a3b), bactérie aux propriétés entomopathogènes. Mi-novembre à mi-mars - Lutte mécanique / échenillage (coupe des branches porteuses de pontes, pré-nids et nids puis brûlage). Mi-novembre à mi-avril - Lutte chimique (réservé à la période hivernale dans le cadre d'un rattrapage).
Processionnaire du chêne
Mi-avril à mi-mai - Traitement insecticide biologique à base de Bacillus thuringiensis (BT kurtstaki, sérotype 3a3b), bactérie aux propriétés entomopathogènes. Mi-mai à fin juin - Luttes chimique (réservé aux stades avancés dans le cadre d'un rattrapage) et mécanique / échenillage (brulage, aspiration, grattage).
Moustiques
Les moustiques adultes sont de petits insectes volants délicats avec deux ailes. Plusieurs espèces prélèvent facilement du sang humain pour se nourrir. Elles peuvent ainsi transmettre des organismes microbiens qui provoquent des maladies telles que l’encéphalite et le paludisme. Les moustiques les plus préoccupants en France (Hexagone et DROM) appartiennent aux genres Culex, Aedes et Anopheles.
Seules les femelles moustiques se nourrissent de sang animal. Les moustiques mâles ne le font pas. Ils n’utilisent leur trompe que pour prélever le nectar des plantes et d’autres sources de sucre.
Cycle de vie
Le cycle de vie des moustiques (et de nombreux autres insectes) implique un stade d’œuf, de larve, de nymphe et d’adulte. Les larves de moustiques sont noires ou brunes et se trouvent généralement dans des points d’eau stagnante naturels (mares, trous d’arbres) ou artificiels (pneus, soucoupes, résultats de fuite d’eau). Les larves respirent de l’air à la surface de l’eau.
Les larves deviennent des pupes (ou nymphes) après quelques jours. Celles-ci sont aquatiques, en forme de virgule et généralement de couleur sombre. Elles respirent de l’air à la surface de l’eau comme les larves, mais ne se nourrissent pas.
Les moustiques adultes émergent des pupes 1 à 2 jours plus tard. Peu de temps après, les femelles se mettent en quête de sang pour nourrir le grand nombre d’œufs qu’elles pondront pour compléter leur cycle de vie.
Deux espèces de moustiques Aedes (Aedes aegypti et Aedes albopictus) sont notoirement connues pour être vectrices des virus Zika, le virus de la dengue, le virus chikungunya, et le virus de la fièvre jaune.
Traitement
Une toute petite quantité d’eau stagnante, peut-être même un bouchon de bouteille contenant de l’eau, peut contenir des larves, ce qui rend la détection très difficile. Deuxièmement, les œufs résistent au dessèchement et restent viables pendant des mois ou plus.
Bioinsecticides préventifs
Les techniciens spécialisés d’ACE HYGIENE pour ensemancer les points d’eau suspectés d’être des lieux de ponte à l’aide de bactéries ou toxines de biocontrôle. Par exemple, Bacillus thuringiensis israelensis (Bti) est une bactérie qui forme des spores qui produisent des protéines toxiques pour les larves de moustiques. Le Bti est hautement sélectif car ne tue que les moustiques et les larves de quelques autres mouches apparentées.
Autre exemple, le spinosad est un complexe de deux toxines qu’une bactérie nommée Saccharopolyspora spinosa (une bactérie) crée. Il s’agit d’un insecticide large spectre homologuée en France et autorisé en agriculture biologique. Des larvicides à base de spinosad permettent de contrôler les larves de moustique.
Insecticides curatifs par micronébulisation et thermonébulisation
Ces applications fournissent une réduction temporaire de la population adulte. Pour le traitement de gros volumes intérieurs et en extérieur, ACE HYGIENE procède à une thermonébulisation d’insecticide en quadrillant la zone de traitement.
Confiez vos problèmes de nuisances à des spécialistes.
Société de proximité à taille humaine dont la lutte anti-parasitaire en milieu urbain représente le cœur de métier.